Grâce à la mauvaise foi parfois exacerbée des acteurs de la sitcom « Where amazing happens », Basket USA peut se transformer en un site humoristique. La blague du jour nous vient d’un ancien General Manager qui a réussi pendant des années à faire rimer médiatique avec pathétique. L’objet de notre franche rigolade ? Une phrase sortie d’une récente interview :
« Je pense toujours que je peux gagner avec New-York. D’ailleurs j’étais tout près de le faire avant mon départ. »
Quand vous saurez qui l’a prononcée, vous comprendrez notre tordage de rire.
Bon, c’est vendredi donc jouons-la ludique avant le week-end. « Question pour un champion » spécial NBA, c’est parti :
Qui suis-je ? J’ai été double champion NBA comme joueur et ennemi juré de Sa Majesté, je me suis essayé au coaching dans l’Etat qui m’a vu devenir une star NCAA, puis j’ai coulé une ligue vieille de 55 ans avant de plomber une franchise historique devenue usine à dollars immérités et risée de la NBA.
Vous avez trouvé ?
Bon, c’est tellement facile qu’on ne vous fera pas l’injure de nommer le patronyme.
Dernier indice pour ceux qui ne sont pas bien réveillés : malgré son nom il n’est pas un Saint et n’a pas besoin de voir pour le croire. Par contre, nous on a besoin de le relire plusieurs fois pour croire une seconde qu’il puisse être sérieux quand il affirme les délicieuses déclarations qu’on a sélectionnées pour vous.
« Revenir aux Knicks comme GM ? C’est un rêve et un désir, mais je n’attends rien. Mais avec le réseau que j’ai et mes connaissances sur le jeu, j’ai confiance (…) dans ma faculté à faire gagner New-York. Et avant mon départ, j’étais tout près d’y arriver.
S’il n’y avait pas eu ce procès (ndlr, pour harcèlement sexuel), je serais encore là, on aurait fait les playoffs plusieurs fois et LeBron James et Dwayne Wade, les deux, seraient aux Knicks et pas au Heat.
J’avais fait de LeBron mon objectif depuis 2003 et mon arrivée au club. J’avais pris Curry et Crawford pour mieux le convaincre de signer chez nous. C’était mon plan et je continue de penser que j’y serais arrivé. »