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Les Spurs doivent serrer les dents pour accrocher les playoffs

Il reste un mois de compétition et, chose rare depuis 20 ans, les Spurs ne sont toujours pas assurés de disputer les playoffs.

Longuement documentée et racontée comme une série à suspense, la saison de San Antonio a été assez chaotique, malgré des résultats toujours solides et une troisième place à l’Ouest conservée jusqu’à il y a encore jours.

Mais désormais, la troupe de Gregg Popovich est cinquième et ce n’est pas (ou plus) le moment de se plaindre.

« Arrêtez de pleurer et jouer, tout simplement », annonce le coach à ESPN. « C’est ce qu’on a fait. Personne ne pleure, ni ne se trouve des excuses. Tout le monde a des problèmes à surmonter. Nous, ça a été les blessures. On est déçu car on voulait reprendre là où on s’était arrêté l’an passé, après 61 victoires et une finale de conférence. »

Les blessures en ont décidé autrement. Gregg Popovich a proposé 22 cinq majeur différents et son effectif a manqué un total de 175 matches ! L’équipe est la seconde plus âgée de la ligue derrière Houston, et les cartes ont été redistribuées avec 11 joueurs (10 sans Kawhi Leonard, qui a peu joué) à au moins 20 minutes de moyenne par match.

« Les anciens Spurs ont disparu »

Comme Doc Rivers aux Clippers, Gregg Popovich bricole et, en bon magicien du coaching, trouve des solutions. Pourtant privés du meilleur défenseur de la NBA, les Spurs ont été parmi les meilleures défenses de la ligue pendant une partie de la saison. Comment expliquer alors les très mauvais résultats des derniers jours ?

« On doit manquer de carburant », constate le coach. « Notre problème, ce sont les pannes défensives dans le quatrième quart-temps. C’est manifeste. On ne shoote pas bien, ça arrive parfois. Mais on ne peut pas faire des erreurs défensives si on ne marque pas. Donc concentrons-nous là-dessus : il faut garder notre concentration défensive pendant 48 minutes. On l’a fait pendant 50 ou 60 matches. »

Surtout que les Spurs n’ont pas, cette saison, pu se reposer sur leur meilleur joueur comme ils le faisaient avec Tim Duncan, Tony Parker, Manu Ginobili ou Kawhi Leonard les années passées.

« Dans les soirs avec ou sans, on pouvait compter sur un lay-up de Tony, ou sur une action de Manu ou Duncan, sans même appeler un système », rappelle Danny Green. « Maintenant, on doit dessiner nos actions et les expliquer à nos joueurs, et voir comment ils vont l’exécuter. C’est très différent. Les anciens Spurs qu’on avait l’habitude d’être ont disparu. »

Ce soir, les Spurs se rendent à Golden State et en cas de défaite, et de victoire de Minnesota, ils perdraient à nouveau une place…

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