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Kentucky : John Calipari dithyrambique sur la promotion 2016

john-calipariDepuis l’arrivée du coach John Calipari à Kentucky, les Wildcats héritent chaque année d’une promotion de freshmen à couper le souffle. L’an passé, trois de ses freshmen ont été lottery picks avec Karl-Anthony Towns comme 1er choix de la Draft, mais aussi Trey Lyles et Devin Booker.

Cette saison, ce n’est pas mal non plus avec Skal Labissiere, le meilleur joueur de la promotion 2015, Isaiah Briscoe, le meilleur meneur, et Jamal Murray, qui a explosé lors des Jeux Pan Américains avec le Canada.

Mais selon Calipari, le meilleur est à venir. En effet, il décrit la promotion 2016 comme ayant le potentiel de devenir la meilleure que l’on ait vu depuis plusieurs décennies.

« Cette promotion pourrait être l’une des meilleures de l’histoire » déclare Calipari sur ESPNU. « Je la sens très bien. Elle pourrait devenir la meilleure que j’ai pu voir. Et c’est quelqu’un qui fait ce boulot et recrute ces gamins depuis 25 ans qui vous le dit. »

Si Kentucky a raté le coche avec l’ailier Jayson Tatum, parti à Duke, les Wildcats sont toujours en lice pour engager Josh Jackson, Harry Giles et Dennis Smith, trois des quatre meilleurs prospects de la promotion. Kentucky est également sur le coup pour recruter Kobi Simmons, Miles Bridges ou encore Malik Monk, trois autres cadors de la promotion 2016. Pour l’heure, les Widcats n’ont qu’une seule recrue confirmée : le Néo-zélandais Tai Waynard, champion du monde U18 3×3 en juin dernier.

Calipari est également revenu sur le cas de son fils Brad, qui termine cette année son cursus de High School dans le Massachusetts et qui pourrait rejoindre Kentucky l’an prochain.

« Ma femme m’a déjà prévenu que si Brad voulait venir à Kentucky, je ne pourrais pas quitter l’université et je serai donc coach pendant encore au moins cinq ans » ajoute Calipari. « Et si je suis encore là dans cinq ans, pourquoi ne pas continuer jusqu’à 70 ans ? Il semble qu’aujourd’hui, tout le monde entraîne jusqu’à l’âge de 70 ans. Je pensais partir à 60 ans. Au final, je pense que 72 ou 73 ans fera l’affaire. Je ne sais pas encore. »

Si jamais Brad Calipari rejoignait son illustre père à Lexington, il ne recevra aucun traitement de faveur.

« S’il vient à Kentucky et décide d’être « walk on », ce sera vraiment une expérience fantastique de partager ces moments, des hauts et des bas… La seule chose, c’est qu’à la maison il aime répondre. C’est impossible quand on veut jouer pour moi. »

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