Sans réellement forcer, mais avec une pointe de danger tout de même, Miami repart de Floride avec les deux victoires avant d’aller à Charlotte.
LeBron James a lui aussi fait le boulot avec 32 points, 8 passes, 6 rebonds et 4 interceptions. Des statistiques qu’aucun joueur n’avait atteint depuis Chris Paul en 2011, Gary Payton en 2000 ou encore Michael Jordan, plusieurs fois en 1989 et 1990.
Le tout sans donner une impression de puissance ou de domination.
« On peut mieux jouer, on n’a pas encore joué notre meilleur basket. On doit trouver plus de consistance pendant 48 minutes. Ainsi, on aura plus de chances de gagner le Game 3. »
Surtout que le Heat affronte une équipe solide, jeune, pleine de volonté et qui ne lâche rien.
« Ils reviennent souvent, c’est une équipe qui n’abandonne pas. »