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Kelsey Plum reste optimiste malgré les débuts compliqués des Sparks

WNBA – Les Sparks ne réalisent pas le début de saison espéré, mais Kelsey Plum garde espoir et pense que l’équipe de Los Angeles va remonter la pente avec l’arrivée de l’été.

Kelsey PlumLorsque les Sparks ont récupéré Kelsey Plum en janvier dernier, ils s’attendaient certainement à vivre un début de saison moins compliqué. Pourtant, après une dizaine de matchs joués, les premières semaines sont difficiles pour la franchise de Los Angeles avec un bilan de quatre victoires pour neuf défaites et deux gros revers dernièrement face au Lynx (101-78) et au Storm (98-67).

« Je ne vais pas mentir, c’est compliqué », admet Kelsey Plum au micro du podcast de la légende des Sparks et de la WNBA, Lisa Leslie. « Je n’aime pas me faire botter les fesses à la télévision nationale, mais je promets qu’on va se remobiliser et se remettre en route. »

Un bilan qui peut être remis en perspective vu l’avalanche de blessures qui a frappé Los Angeles en ce début de saison. Outre Cameron Brink qui se remet toujours de sa rupture des ligaments croisés, Rae Burrell s’est blessée à la jambe lors du premier match de la régulière face aux Valkyries et ne rejouera pas pendant tout le reste du mois de juin, au minimum.

Des Sparks toujours optimistes

« Être en bonne santé, c’est la clé », poursuit Kelsey Plum. « Nous avons eu un démarrage compliqué, mais nous sommes l’une des équipes qui a joué le plus de matchs. Donc nous allons avoir un moment de pause pour nous réunir, mais j’ai beaucoup d’espoir dans cette équipe. Je pense que nous allons mieux jouer en juillet et en août pour essayer d’accrocher une place en playoffs. »

Malgré ce démarrage compliqué, les ambitions de Kelsey Plum ne sont pas entamées et l’ancienne joueuse des Aces vise toujours les playoffs. Si les résultats comptables ne sont pas au rendez-vous, les Sparks montrent parfois de belles choses, à l’image du bon début de régulière de Dearica Hamby et ses 17 points et 8 rebonds de moyenne, dans la continuité de son exercice 2024.

« Dearica fait une incroyable saison sur le plan individuel », souligne Kelsey Plum. « On va continuer d’essayer de se trouver et plus le temps va passer, plus on va s’améliorer. Cela va bien se finir par se traduire en victoire. »

Kelsey Plum rappelle également que l’équipe californienne est une formation assez jeune. Parmi cette jeunesse, on retrouve notamment la sophomore Rickea Jackson qui continue de progresser, comme le montrent ses 30 points (record en carrière) lors d’un match remporté face aux Aces, le 11 juin dernier.

« Rickea est l’une des joueuses les plus talentueuses que j’ai pu côtoyer », s’exclame l’ancienne joueuse de Las Vegas. « Jouer avec elle ne demande aucun effort. Je pense qu’elle va mettre tous les tirs qu’elle prend et elle a le talent pour ça. Elle peut jouer au poste, attaquer le cercle, tirer à 3-points ou prendre de tirs à mi-distance. »

Cameron Brink bientôt de retour ?

Les Sparks possèdent également trois rookies dans leur effectif : Sarah Ashlee-Barker, Liatu King et Sania Feagin. Trois rookies en lesquelles Kelsey Plum place beaucoup d’espoirs.

« Sania Feagin est une intérieure qui communique vraiment bien », explique la double championne WNBA. « Elle n’a pas encore eu beaucoup de temps pour s’exprimer, mais je pense que son heure viendra. Je place beaucoup de confiance en elle. Sarah Ashley est une compétitrice, elle joue dur. Elle en veut tellement – et j’étais pareil lorsque j’étais rookie – que parfois les choses vous glissent entre les mains, mais le jeu va finir par ralentir pour elle. Liatu est très calme et je suis impressionnée par la manière dont elle a glissé du poste 3 au poste 4 en seulement dix jours de camp d’entraînement, elle apprend vite, je pense que son plafond est assez élevé. »

Ainsi, si les résultats ne sont, pour le moment, pas au rendez-vous, Kelsey Plum s’attend à voir les choses bouger avec l’arrivée de l’été. Une période estivale qui pourrait être marquée par le retour de Cameron Brink.

L’ancienne de Stanford avait joué 15 matchs la saison passée pour 7.5 points et 5 rebonds de moyenne, mais surtout 2.3 contres par soir. Une présence intérieure qui ne peut être que bénéfique aux Sparks, qui pointent pour le moment parmi les pires défenses de WNBA avec 107 points encaissés pour 100 possessions.

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