Le fatalisme régnait chez les Rockets après la nouvelle blessure aux ischios-jambiers de Chris Paul dans la défaite à Miami.
« Nous perdons un gars de l’importance de Chris, et maintenant nous devons à nouveau batailler », confessait Mike D’Antoni. « Les mêmes défauts vont réapparaître, et il va falloir qu’on les surmonte. »
Peut-être, mais moins longtemps que l’entraîneur ne le pensait : il avait misé sur « un bon moment » sans Chris Paul, les médecins ont eux tablé sur deux semaines, avant un nouvel examen. Un moindre mal pour Houston qui pourrait donc retrouver son meneur, dans le meilleur des cas, vers le 5 janvier.