Comme en 2010 en Turquie, Team USA se présentera à la Coupe du monde avec un effectif amoindri par rapport aux derniers Jeux olympiques.
Pour Pablo Prigioni, le meneur des Knicks et de l’Argentine, les Etats-Unis sont plus que vulnérables et pourraient donc connaître la défaite pour la première fois depuis… 2006.
“L’Espagne et quelques autres équipes ont désormais une chance de battre les Américains” affirme-t-il à Reuters. “Ce sera intéressant de voir comment ils sont capables de s’adapter sans plusieurs grands noms.”
Pour Luis Scola, il ne faut cependant pas sous-estimer Team USA.
“Ça reste une bonne équipe, et ce quels que soient les joueurs. L’Espagne, comme pays hôte, sera aussi favorite.”
Privée de Ginobili et Delfino, l’Argentine fera partie des outsiders, même si ce sera compliqué d’empêcher une nouvelle finale entre les Etats-Unis et l’Espagne.
“Ce sera très compliqué sans eux, mais il faut s’adapter et croire en nos jeunes.”
Un peu le même message que Vincent Collet avec ses Bleus, privés également de nombreux cadres.