Pour le second match de Boris Diaw sous ses nouvelles couleurs, son grand pote Tony Parker effectuait son retour après sa mise au repos la veille. Avec 12 points et 10 passes pour le meneur, San Antonio s’impose en toute fin de match contre des Hornets batailleurs jusqu’au bout (89-86).
Jack – Landry trop courts
Jarrett Jack aura tout essayé avec 27 points, 7 rebonds, 5 passes et une foultitude de layups compliqués et de shoots en périphérie. Il permettait en tout cas de mettre ses Hornets sur orbite en première mi-temps (48-47 à la pause).
Carl Landry qui effectuait également son retour à la compétition a été plutôt bon pour Monty Williams avec 15 points en sortie de banc. Le vrai problème des Hornets a été de finir le match. Alors que les Spurs ont 3 points d’avance, Jarrett Jack ne peut conclure sa pénétration et c’est Danny Green (encore lui) qui arrache le rebond décisif.
Green décisif malgré deux lancers ratés
Par contre, il rate ses deux lancers qui auraient pu tuer définitivement le match. Belinelli (10 points) a une dernière chance d’arracher la prolongation mais son tir en se retournant ne touche que le nylon. Les Spurs s’imposent.
Ginobili, et Splitter, n’avaient pas fait le déplacement, c’est DeJuan Blair (23 points et 7 rebonds) et Stephen Jackson (14 points) qui ont porté la charge offensive de San Antonio. Autour d’eux, les cadres Parker et Duncan (13 points, 7 rebonds) permettent d’assurer l’essentiel : un 32ème succès !
Boris Diaw s’est lui contenté de 10 minutes de jeu pour un écot équivalent à sa première sortie officielle (2 points et 2 rebonds). Pour l’instant, il se comporte en « role player », et tant que l’équipe gagne…
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