Derrick Rose n’est pas encore de retour, mais le documentaire d’Adidas consacré à sa rééducation, lui, se termine.
Pour cet « au revoir », le meneur des Bulls commence par expliquer qu’il a accepté de faire ce documentaire non pas pour lui, mais pour ses supporters.
« Je n’ai jamais autant parlé de toute ma vie », explique Rose de sa voix toujours timide avant de raconter qu’il est content d’apprendre que son travail inspire des gens. « Je ne fait qu’être vrai. C’est comme ça que ma famille m’a élevé, et les gens qui m’entourent. Nous sommes juste vrais. »
Pour ce qui est du physique, ça va forcément de mieux en mieux. Avec six séances par semaine et la possibilité maintenant de faire bosser à la fois le haut et le bas du corps, le MVP 2011 se reconstruit.
Mais encore une fois, il sait qu’il n’est pas seul.
« Je ne serais pas ici sans mes supporters. Ça veut dire beaucoup pour moi. Je ne peux pas les remercier assez. »
Et pour ceux qui le suivent, Rose termine ce documentaire par une promesse.
« Je pourrais mourir sur ce terrain. »
Difficile de faire plus clair pour annoncer sa motivation.