
Sans LeBron James, ni Luka Doncic, heureux papa d’un deuxième enfant, au lendemain de leur victoire sur le fil à Toronto, les Lakers n’ont pas pesé lourd face aux Celtics. Pour leur visite annuelle chez leurs ennemis historiques, les joueurs de JJ Redick se sont inclinés de 21 points après avoir compté jusqu’à 29 points de retard en première mi-temps. Mais le coach retient la réaction d’orgueil après la pause.
“Nous sommes l’une des meilleures équipes de la ligue sur les tirs à mi-distance dans la peinture, hors cercle, et nous avons tiré à 5 sur 13 dans cette zone. Ils nous ont assommés à 3 points en première période. Nous les avons battus d’un point sur les trois derniers quart-temps, mais malheureusement, le basket ne fonctionne pas comme ça et on finit par perdre de 21 points” explique-t-il. “J’ai trouvé que notre réaction avait été bonne. Nous avons eu beaucoup de moments où nous aurions pu craquer, et nous ne l’avons pas fait. C’est tout à l’honneur de nos gars. »
Au passage, Redick défend son plan de jeu, qui était de laisser de la liberté à Jaylen Brown et Jordan Walsh au large. Chaque soir, il faut faire des choix forts, et il les assume.
“Jaylen Brown tourne à un faible pourcentage — autour de 30 % — sur les tirs à 3-points en sortie de dribble, et il en met trois de suite dans le troisième quart. Jordan Walsh, nous étions prêts à faire avec ses tirs à 3 points, il faut bien concéder quelque chose, et il en rentre quatre…” constate-t-il. “Nous avons contesté trois de ces tirs. Donc, il faut accepter de vivre avec certains choix, et ils nous l’ont fait payer. On peut parler du plan de jeu autant qu’on veut, mais il faut savoir ce qu’on est prêts à accepter. Nous l’avons fait de nombreuses fois, et ce soir ça s’est retourné contre nous.”
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