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Michael Carter-Williams conseille aux rookies de se préoccuper de leur physique dès maintenant

NBA – L’ancien rookie de l’année, tout juste coupé par le Magic, est bien placé pour en parler étant donné ses multiples pépins physiques depuis le début de sa carrière.

Lorsqu’il fait le point sur sa carrière, Michael Carter-Williams pense naturellement « aux hauts et aux bas » qui l’ont rythmée. « Cela a évidemment commencé avec l’obtention du trophée de rookie de l’année, qui a été un énorme accomplissement dans ma carrière de basketteur », se souvient le meneur, sacré en 2014 dans la foulée de sa Draft par les 76ers (11e choix).

Après ce début de carrière prometteur, la suite a été beaucoup moins glorieuse pour lui. « J’ai été malchanceux avec les blessures et j’ai connu des situations difficiles mais j’ai appris de toutes ces situations », confie-t-il à Syracuse.com, le média qui a couvert ses prouesses lorsqu’il évoluait à l’université.

Genou, hanche, pied… « MCW » a connu une série de blessures qui ne l’ont pas aidé à se stabiliser dans la grande ligue. Transféré par les Sixers dès sa deuxième saison vers les Bucks, il a ensuite multiplié les expériences plutôt infructueuses, à Chicago, Charlotte ou encore Houston.

Il commençait toutefois à remonter la pente avec le Magic, qui l’avait récupéré en mars 2019. Malheureusement pour le joueur de 30 ans, opéré de la cheville l’été dernier, sa santé a encore eu raison de lui : il vient d’être coupé par la franchise floridienne sans avoir disputé le moindre match cette année…

Bosser physiquement dès le départ

Alors, parmi les choses qu’il dit avoir retenues de ces huit saisons passées dans la grande ligue est de ne pas lésiner avec son physique. « Quand j’ai démarré dans la ligue il y a neuf ans, c’est drôle à dire, les équipements pour récupérer n’étaient pas censés concerner les rookies. On est trop jeune pour ça. Maintenant que je suis vétéran, j’encourage ces jeunes à prendre soin de leur corps au quotidien. Je me fiche que tu aies 18 ans. Cela va te rattraper à long terme, alors bosse aujourd’hui pour ne pas être affecté plus tard. »

Un message qu’il semble adresser autant aux jeunes joueurs de la ligue qu’au Michael Carter-Williams de ses débuts, qui n’aurait pas été exemplaire en la matière.

Une chose est sûre, le « vétéran » a conscience de la vitesse à laquelle « la NBA évolue vite. Tu peux être contrarié, en colère, ne pas aimer ta situation, personne ne va t’attendre franchir l’obstacle. Le plus important, comme dans la vie, est de tourner la page au plus vite, ne pas se préoccuper de la dernière erreur commise, de la position dans laquelle tu es peut-être coincé aujourd’hui et de continuer à travailler pour atteindre ton objectif. »

Son objectif à lui, en l’occurrence, est de jouer encore « six ou sept ans » dans la ligue. « J’ai encore beaucoup à offrir », jure le meneur, aujourd’hui sans contrat.

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