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Willie Green pas loin de piéger Phoenix

NBA – Pour son premier retour à Phoenix, Willie Green a failli réalisé l’exploit de s’imposer avec La Nouvelle-Orléans, sans Zion Williamson ni Brandon Ingram.

Si les Pelicans, toujours sans Zion Williamson mais aussi sans Brandon Ingram (touché à la hanche), ont réussi à repousser les Suns dans leurs ultimes retranchements hier soir, c’est en grande partie parce que Willie Green, leur nouveau coach, connaît plutôt bien cet adversaire.

Après deux saisons en tant qu’assistant coach à Phoenix, il a été promu « head coach » à La Nouvelle-Orléans, là où son ancien mentor – et adversaire du soir – Monty Williams a également fait ses classes en tant qu’entraîneur principal. Une confrontation au goût forcément particulier pour le nouveau patron des Pels.

« C’était une excellente expérience pour moi. C’est assez surréaliste de revenir ici. J’y ai énormément de bons souvenirs. C’est ce qu’on espère quand on s’implique dans ce métier. On ne s’en rend vraiment compte qu’une fois qu’on est déjà parti vers de nouveaux horizons, mais c’était l’objectif à mon arrivée. Je ne voulais pas simplement aider ces gars à devenir de meilleurs joueurs de basket, et moi un meilleur coach, mais qu’on devienne tous de meilleurs être humains. »

Mikal Bridges et Cam Payne le remercient encore

Membre essentiel de l’épopée des Suns jusqu’en finale NBA la saison passée, Willie Green n’a laissé que de bons souvenirs à Phoenix. Sous sa houlette, Mikal Bridges et Cameron Payne ont explosé, à tel point qu’ils ont décroché le jackpot à l’intersaison : 90 millions sur quatre ans pour le premier et 19 millions sur trois ans pour le second.

« Willie G, c’est mon gars », souffle ainsi Mikal Bridges dans l’Arizona Republic. « C’était bon de le revoir. Quand il a gagné son premier match, je lui ai envoyé un message. Quand j’ai obtenu mon contrat, c’est lui qui m’a envoyé un message. On a simplement une excellente relation. »

Proche de ses joueurs du fait de sa propre expérience, avec une carrière de douze saisons en NBA, Willie Green sait comment approcher la nouvelle génération. Il sait leur parler et manier les bons leviers pour les faire travailler.

« La raison pour laquelle je l’adore, c’est que, depuis le premier jour, il m’a dit que son objectif pour moi, sachant qu’il n’est qu’un assistant, c’est que je sois payé », se souvient Cameron Payne. « Il m’a poussé à le faire. Tous les jours. Willie a essayé de me rendre parfait. De me perfectionner sur le terrain mais tout en restant moi-même. C’est ce que j’ai vraiment appris de lui. »

Des adversaires qui n’ont aucun secret l’un pour l’autre

Dédié aux tâches défensives durant ses deux années à Phoenix, Willie Green a bien aidé les Suns à passer de la 17e place à la 6e place au « Defensive Rating ». Et Phoenix ne pointe qu’à la 19e place depuis son départ…

« Défensivement, il nous maintenait ensemble », ajoute Mikal Bridges. « Il variait les systèmes tout en gardant cinq gars qui jouaient ensemble. Il va probablement leur souligner tous les points négatifs de notre équipe. »

Longtemps devant au tableau d’affichage, jusqu’en dernier quart, les Pels auront même mené de 20 points en première mi-temps. Mais leur adresse (27%) en deuxième mi-temps les a plombés alors que Chris Paul et Devin Booker ont fait parler leur sang-froid dans la dernière ligne droite. Dommage pour Willie Green qui avait plus ou moins remporté la partie d’échecs face à son ancien collègue de banc…

« Ils ont la même attaque que nous », expliquait Monty Williams. « Je suis sûr qu’ils savaient ce qu’on allait essayer de faire. Et même chose de notre côté. On savait quand ils allaient utiliser certaines défenses contre le pick & roll et on a pu faire quelques interceptions. Ils ont vraiment bien joué car ils nous ont fait payer chacune de nos erreurs. Ils étaient bien dans les couloirs de passes. »

Les prises à deux sur Chris Paul

Anciens coéquipiers à La Nouvelle Orléans mais aussi chez les Clippers, Willie Green et Chris Paul étaient souvent inséparables l’année passée.

L’un et l’autre se décrivent mutuellement comme étant des frères. Mais cette année, même si les sentiments restent, la dynamique a changé. Et les 12 points inscrits par Chris Paul en dernier quart ont fait très mal.

« C’est amusant parce que Willie et moi, on parlait tout le temps basket. Je lui disais tout le temps : si je jouais contre moi-même, je ferais probablement des prises à deux », se marrait Chris Paul après la bataille. « Et comme par hasard, il m’a envoyé des prises à deux tout le match. »

Frères ennemis hier soir, Willie Green et ses anciens copains de Phoenix se retrouveront le 25 février prochain pour la deuxième visite des Pélicans en Arizona. Le « head coach » et la Nouvelle Orléans voudront cette fois prendre leur revanche (au complet ?), histoire de ne pas se faire trop chambrer par Chris Paul…

« Quand on est entre ces lignes, je veux gagner autant que lui. Notre équipe voulait gagner ce match car c’est l’objectif à chaque fois qu’on entre sur le terrain. Mais c’est ça qu’on respecte le plus l’un chez l’autre. Je savais ce qu’il allait faire. On savait tous ce qu’il allait faire. L’équipe était prête pour ce défi. On s’est bien battu. Les gars ont tout donné mais on est tombé un peu court… »

Tirs Rebonds
Joueurs MJ Min Tirs 3pts LF Off Def Tot Pd Bp Int Ct Fte Pts
Zion Williamson 30 28.6 56.7 23.1 65.6 2.5 4.7 7.2 5.3 3.0 1.2 0.9 2.7 24.6
Brandon Ingram 18 33.1 46.5 37.4 85.5 0.9 4.6 5.6 5.2 3.8 0.9 0.6 2.5 22.2
Trey Murphy Iii 53 35.0 45.4 36.1 88.7 0.9 4.2 5.1 3.5 1.9 1.1 0.7 2.1 21.2
C.j. Mccollum 56 32.7 44.4 37.3 71.7 0.8 3.0 3.8 4.1 1.9 0.8 0.4 2.2 21.1
Dejounte Murray 31 32.7 39.3 29.9 82.3 0.5 5.9 6.5 7.4 3.4 2.0 0.4 2.0 17.5
Jordan Hawkins 56 23.6 37.2 33.1 81.6 0.4 2.4 2.8 1.2 1.0 0.5 0.4 0.9 10.8
B.j. Boston, Jr. 42 23.6 43.6 35.0 78.8 0.7 2.5 3.2 2.2 1.2 1.3 0.2 1.7 10.7
Kelly Olynyk 20 25.4 50.0 38.9 75.4 1.9 4.0 5.9 3.6 2.1 0.9 0.6 3.2 10.7
Jose Alvarado 56 24.4 39.2 35.9 81.1 0.5 1.9 2.4 4.6 1.5 1.3 0.3 1.6 10.3
Herb Jones 20 32.4 43.6 30.6 82.5 1.1 2.8 3.9 3.3 1.8 1.9 0.5 3.3 10.3
Keion Brooks, Jr. 14 23.7 48.6 32.6 73.3 0.9 3.3 4.1 0.9 0.9 0.7 0.7 2.1 10.1
Yves Missi 73 26.8 54.7 0.0 62.3 3.5 4.7 8.2 1.4 1.1 0.5 1.3 2.0 9.1
Lester Quinones 9 18.5 38.6 31.7 83.3 0.1 1.6 1.7 2.6 1.1 0.3 0.2 2.0 8.6
Jaylen Nowell 8 21.0 35.6 29.6 63.6 0.8 1.8 2.5 2.3 1.0 0.1 0.5 1.1 8.4
Bruce Brown, Jr. 23 24.7 41.0 35.6 75.0 1.0 3.2 4.2 2.4 0.9 0.7 0.3 2.0 8.2
Karlo Matkovic 42 18.8 57.4 31.8 77.3 1.5 3.5 5.0 1.1 1.0 0.5 1.0 2.5 7.7
Antonio Reeves 44 15.0 45.6 39.5 80.0 0.4 1.0 1.4 0.9 0.7 0.5 0.1 0.9 6.9
Jeremiah Robinson-earl 66 18.8 45.5 34.1 83.6 1.7 3.1 4.8 1.3 0.8 0.6 0.1 1.2 6.3
Javonte Green 50 21.8 44.6 35.2 75.8 1.0 2.6 3.6 0.9 0.6 1.1 0.6 1.5 5.8
Jamal Cain 37 13.6 43.0 32.5 68.0 0.7 1.6 2.3 0.6 0.6 0.6 0.2 1.2 5.3
Elfrid Payton 18 21.5 36.6 16.7 57.1 0.8 2.9 3.7 8.1 2.9 1.0 0.4 1.3 4.4
Daniel Theis 38 16.3 47.3 24.3 83.8 1.2 3.2 4.3 1.6 0.7 0.5 0.5 1.8 4.3
Kylor Kelley 3 19.7 44.4 0.0 50.0 1.3 4.7 6.0 1.0 1.0 0.3 0.3 2.3 3.3
Mohamed Bamba 4 15.3 44.4 0.0 100.0 1.5 4.8 6.3 0.5 0.3 0.0 0.8 1.8 2.5
Trey Jemison 16 10.4 46.9 0.0 38.1 1.4 1.4 2.8 0.6 0.6 0.4 0.4 1.7 2.4

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