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Vincent Collet : « Perdre serait une déchirure car on a le sentiment que c’est notre année »

Pour la seconde fois d’affilée, l’équipe de France va jouer la finale de l’Eurobasket.

Mais pour Vincent Collet, les deux finales sont totalement différentes. En 2011, la finale était un aboutissement, cette année, c’est une étape avant la médaille d’or.

« Il y a deux ans l’objectif olympique était tellement fort que ça représentait déjà une victoire », rappelle le sélectionneur sur le site de la FFBB. « Hier (vendredi soir) même si battre l’Espagne rendait la victoire plus belle que contre n’importe quel autre adversaire, on sentait bien qu’il reste une chose à faire. Il faut toujours savourer un peu. Mais samedi matin à l’entraînement nous étions à nouveau dans la concentration par rapport au match de dimanche. »

Collet donc le parfait exemple de déconcentration après un tel exploit en demi-finale : la Grèce de 2006 aux championnat du monde.

« Les Grecs ont battu les Américains en 2006 au Mondial et ils n’ont pas existé contre les Espagnols privés de Pau Gasol. Ils ne se sont pas remis de cette immense victoire. Le danger dans ces circonstances c’est la perte d’agressivité. Et l’agressivité est un critère fondamental pour nous plus que pour d’autres. Le problème des grandes victoires c’est qu’elles te rassurent, te placent dans un état de confort. Il faut se dire que la finale sera encore plus difficile que la demi contre l’Espagne.»

Quelles autres différences existent entre l’aventure de 2011 et celle de cette année ? L’expérience et Tony Parker.

« En 2011 nous avions fait un Euro avec une grande régularité et presque dominateur jusqu’à la finale. Cette année nous avons été réalistes. Et l’expérience des années précédentes, cette capacité à ne pas s’affoler et à ne pas lâcher fait la différence. Avec bien sûr la présence d’un leader au-dessus du lot. Tony Parker a montré qu’il était le meilleur meneur européen, peut-être de tous les temps. »

La médaille d’or est donc plus proche que jamais, dans une compétition jamais remportée par les Français.

« Être en finale deux fois en deux ans est une excellente chose pour le basket français. J’avais dit en 2011 qu’il ne fallait pas que ce soit un coup d’épée dans l’eau. Il y a deux ans on ne pouvait pas être déçus même après avoir perdu contre l’Espagne. On admettait logiquement leur supériorité. Nous serons peut-être dominés par la Lituanie mais si on perd, ça sera une déchirure parce qu’on a le sentiment que c’est notre année. »

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