Retourné au vestiaire directement après le coup de sifflet final, Roy Hibbert n’a donc pas pris le temps de féliciter un adversaire tout simplement plus fort que lui.
Une attitude qui lui semble logique et qu’il justifie presque comme du respect.
« Je sais que quelques-uns de mes coéquipiers ont joué avec certains d’entres eux mais moi, je ne les connais pas personnellement, » explique-t-il au Indianapolis Star. « C’était leur moment car ils ont gagné. J’ai un énorme respect pour eux mais je n’en connais aucun personnellement et je ne voulais pas interrompre leur moment. »
Sauf que la plupart des joueurs étaient en train de se serrer la main et Roy Hibbert n’aurait pas interrompu grand-chose. Parallèlement, David West a agi de la même façon mais c’est là une habitude puisqu’il n’a jamais serré la main des joueurs de Miami lors de leurs dix rencontres cette saison. Au moins, il est constant.