Première interview… et première boulette pour Steve Stoute, le nouveau patron de la communication des Knicks, qui a été engagé pour changer l’image de la franchise par James Dolan.
Entre deux déclarations ultra confiantes sur sa capacité à transformer le club, se plaçant comme le « Drake de New York » pour y ramener de l’engouement, il s’est ainsi permis quelques commentaires sur le choix du coach.
« Ils ont de jeunes joueurs – RJ Barrett, Mitchell Robinson. Ils ont de quoi travailler. Il faut un entraîneur et, en fin de compte, un entraîneur et un staff qui vont permettre de développer une équipe. C’est ce que je m’attends à voir, pour que nous puissions obtenir ce qu’on attend d’une équipe basée à New York […] Avoir un coach qui a de l’envergure et de l’importance pour que les médias apprécient de lui parler et le croient, c’est super important. »
Une « mise à mort » publique du pauvre Mike Miller, qui fait plutôt du bon boulot (13 victoires – 19 défaites) depuis qu’il a pris la succession de David Fizdale (4 victoires – 18 défaites), qui a logiquement fait grincer des dents.
Dans la foulée, New York a donc été obligé de publier un communiqué pour rectifier le tir…
« Bien que Steve Stoute soit un contributeur précieux aux efforts de marketing des Knicks, il ne parle pas au nom du département des opérations basket des New York Knicks », a ainsi écrit l’équipe. « Toute décision concernant l’équipe sera prise par le nouveau président des New York Knicks ».
Un recadrement sec, suivi par les excuses de l’intéressé.
« Dans mon enthousiasme à défendre les Knicks en direct à la télévision aujourd’hui, j’ai insinué par inadvertance des choses au sujet du personnel des Knicks. J’ai hâte de travailler avec la direction des Knicks pour aider à faire progresser la superbe marque de la franchise ».
Dans la foulée, The Athletic affirme également que le très influent William « Worldwide Wes » Wesley ne devrait finalement pas accompagner le futur président Leon Rose à la direction du club.