A quelques heures du match retour face à la Belgique, Tony Parker s’est exprimé longuement lors de la conférence de presse.
Au micro de notre confrère Paul Lafitte, de RMC.fr, le meneur des Spurs dit ce qu’il a sur le coeur, et il revient notamment sur la polémique autour de son jeu avec les Bleus.
Tony, la France est dos au mur…
On n’a plus d’excuse, maintenant on doit fait un gros match. Les Belges étaient plus motivés que nous. Il faut montrer qu’on veut aller en Pologne. Les grosses victoires passent par ce genre de moments, où tout le monde est vexé. J’attends un gros match de mes coéquipiers, je n’ai pas le moindre doute que Nicolas (Battum), Boris (Diaw) et Florent (Piétrus), vont faire un gros match.
Cette défaite a-t-elle ébranlé le groupe ?
Les Belges voulaient plus la victoire que nous, ça se voyait dans leurs yeux. On a plus d’énergie quand on joue à domicile. On ne va pas recréer notre basket, on a fait un travail d’un mois, on a prouvé contre l’Italie qu’on pouvait jouer ensemble. A nous de le remontrer sur le terrain.
Allez-vous modifier quelque chose à votre rôle sur le parquet ?
Je ne vais pas changer ma façon de jouer. Ça ce sont des trucs de journalistes pour expliquer la défaite. Vous savez, ma fenêtre avec l’équipe de France se ferme. Je ne vais pas attendre que Boris ou Nicolas se bougent. Mais en tant que meneur, je peux les aider, je dois plus impliquer mes coéquipiers, peut-être commencer moins fort, pour les mettre en confiance. Mais je ne vais pas changer ma façon de jouer.
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On n’a plus d’excuse, maintenant on doit fait un gros match. Les Belges étaient plus motivés que nous. Il faut montrer qu’on veut aller en Pologne. Les grosses victoires passent par ce genre de moments, où tout le monde est vexé. J’attends un gros match de mes coéquipiers, je n’ai pas le moindre doute que Nicolas (Battum), Boris (Diaw) et Florent (Piétrus), vont faire un gros match.
Cette défaite a-t-elle ébranlé le groupe ?
Les Belges voulaient plus la victoire que nous, ça se voyait dans leurs yeux. On a plus d’énergie quand on joue à domicile. On ne va pas recréer notre basket, on a fait un travail d’un mois, on a prouvé contre l’Italie qu’on pouvait jouer ensemble. A nous de le remontrer sur le terrain.
Allez-vous modifier quelque chose à votre rôle sur le parquet ?
Je ne vais pas changer ma façon de jouer. Ça ce sont des trucs de journalistes pour expliquer la défaite. Vous savez, ma fenêtre avec l’équipe de France se ferme. Je ne vais pas attendre que Boris ou Nicolas se bougent. Mais en tant que meneur, je peux les aider, je dois plus impliquer mes coéquipiers, peut-être commencer moins fort, pour les mettre en confiance. Mais je ne vais pas changer ma façon de jouer.
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