Après deux défaites, les Pelicans ont touché le fond contre les Celtics, à domicile, avec un revers de 32 points. « Ils se sont battus plus que nous. C'est aussi simple que ça », ne pouvait que constater Trey Murphy III.
Se retrouver avec un bilan de 0-3 n'est déjà pas reluisant. Mais être dans cette position alors que l'on va s'envoler pour affronter les Nuggets, les Clippers et le Thunder, ça laisse craindre le pire. Les Pistons avaient certes fait les playoffs la saison dernière après un 0-4 inaugural, mais si on va jusqu'à 0-6, aucune équipe n'est jamais parvenue à éviter les vacances en avril.
Faut-il déjà craindre une (nouvelle) saison ratée pour New Orleans ? C'est encore tôt pour l'affirmer. Néanmoins, si trois nouvelles défaites viennent s'ajouter lors de ce « road trip », il se peut en revanche que les jours de Willie Green sur le banc soient de plus en plus comptés.
Joe Dumars attendait des changements…
« Je suis déçu de notre approche du match, du manque de dureté sur le terrain plus que tout. C'est ça qui est dur », expliquait-il après la défaite face à Boston. « C'est une chose de ne pas gagner, cela en est une autre de se faire un peu humilier sur son parquet. Et j'en fais partie. »
En arrivant au poste de vice-président de la franchise, Joe Dumars attendait un changement de culture. Si le dirigeant accepte que la « la réussite et le succès soient des processus », en revanche, il insistait pour dire que « le style – la résilience, la dureté, jouer dur, ne jamais lâcher – c'est ce que les gens veulent voir tout de suite ».
Que peut faire le technicien pour lancer son groupe dans sa saison, à part espérer que Zion Williamson (absent contre Boston) puisse être sur le parquet pour se donner plus de chances de gagner ?
« Continuer de les coacher, de leur faire comprendre ce qu'on fait sur le terrain, de regarder les vidéos, de s'entraîner dur et de mettre en place de bonnes habitudes », liste un Willie Green plus que jamais en danger.
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