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Le rebond attendu des Celtics

NBA – Toujours aucune victoire après trois matches pour Boston. Et surtout de gros soucis sous le cercle, au rebond.

19. C'est le chiffre du match entre les Pistons et les Celtics. Il correspond aux rebonds offensifs des joueurs de Detroit. Si on peut souligner les mérites des troupes de JB Bickerstaff, les efforts même, on peut tout autant pointer du doigt les difficultés de celles de Joe Mazzulla à bloquer au rebond.

Cela coûte des victoires. Dans les trois dernières minutes de la rencontre, alors que rien n'est joué, les champions 2024 parviennent à faire trop stops de suite. Mais trois fois, ils laissent les Pistons prendre des rebonds offensifs et marquer à chaque fois…

« Je ne sais pas comment, mais on doit trouver une solution », annonce Jaylen Brown, auteur de 41 points dans le Michigan. « Beaucoup de nos problèmes peuvent se régler au rebond défensif. Je dois être plus impliqué, prendre plus de rebonds. Il y a des longs rebonds, c'est une question de timing. Des ballons passent au-dessus de nos têtes, les gars se font bousculer. Le rebond, c'est clairement notre plus gros souci actuellement. »

Un calcul bénéfice/risque qui ne paye pas pour l'instant

Après trois matches, tous perdus, les Celtics ne prennent en effet que 29 rebonds défensifs de moyenne. La saison passée, ils tournaient à 34 prises. « On est battu sous le cercle depuis trois matches », insiste le MVP des Finals 2024, qui voit que lui et ses coéquipiers ont à chaque fois été dans le match, avant de craquer.

Joe Mazzulla, en acceptant de ne pas connaître encore l'identité de son équipe, avait insisté sur une chose : les efforts étaient non négociables. Les rebonds en font évidemment partie.

« Il y a les rebonds qu'on doit avoir. On doit être physique, plus dur. Ensuite, on doit être meilleur pour provoquer des ballons perdus et aller chercher des rebonds offensifs pour compenser », analyse le coach, qui ne tombe pas sur son groupe pour autant. « Je trouve qu'on se bat. Et certains choses s'expliquent avec notre défense. On est agressif loin du cercle. Il y a un calcul bénéfice/risque derrière chaque décision. Quand on est agressif sur Cade Cunningham sur pick-and-roll, alors on est plus éloigné du panier donc moins présent au rebond. »

Dès lors, constate le technicien celte, « des athlètes comme Ausar Thompson arrivent à nous dépasser ». Le joueur des Pistons a pris 5 rebonds offensifs quand Jalen Duren a fait encore mieux avec 8 prises offensives. « On doit se battre comme des diables pour prendre ces rebonds, pour conclure les matches », conclut le coach de Boston.

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