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Ben Saraf impressionne déjà les Nets

NBA – `A 19 ans seulement, Ben Saraf est pourtant l'un des joueurs les plus expérimentés des Nets par son passé en Israël et en Allemagne.

ben sarafC'est à 16 ans que Ben Saraf est devenu pro en Israël, et l'année dernière, il évoluait au Ratiopharm Ulm, ce club allemand par où sont passés Killian Hayes et Pacôme Dadiet. `A 19 ans, il a donc goûté au plus haut niveau (plus de 60 matches la saison passée), et selon Michael Porter Jr, ça se voit tout de suite.

« Quand on arrive en NBA, il faut du temps pour ne plus regarder ces superstars comme on les voyait en grandissant devant la télé », explique le nouvel ailier de Brooklyn. « Mais pour les joueurs étrangers, c’est un peu différent, parce qu’ils jouent pro depuis si longtemps. Je l’ai remarqué avec Ben, en parlant aux coachs de lui, juste en le voyant à la salle, il m’a vraiment impressionné. Il a 19 ans, et son niveau de professionnalisme, rien que dans sa manière de se comporter, est largement au-dessus de son âge. »

Même enthousiasme chez Jordi Fernandez, qui connaît bien le basket international.  « Personnellement, je ne suis pas surpris car j'ai vu Ben jouer tellement de matchs. Il a joué au niveau professionnel dans des matchs importants », rappelle le coach de Brooklyn. « Je le connaissais mieux. Nos joueurs, comme il n'a pas joué à l'université, sont moins familiers, et c'est peut-être pour ça qu'ils sont un peu surpris. Ben est un excellent joueur. »

Un jeu adapté à la NBA ?

Sélectionné en 26e position de la dernière Draft, Ben Saraf reconnaît que les playoffs en Allemagne ou la campagne d'EuroCup lui ont permis de vite progresser. « C’est comme si je vivais ma quatrième saison professionnelle, donc j’ai déjà un peu d’expérience. J’ai joué des matchs de playoffs dans des salles pleines, et ça m’a aidé », confie l'Israélien. « J’essaie d’apprendre de chacun d’eux, de mes anciens coéquipiers, des anciens vétérans… Je ne me sens pas comme un rookie ici. Je le suis dans les faits, et je vais faire toutes mes tâches de rookie, mais ça reste du basket, alors je vais juste aller sur le terrain et jouer. »

Comme beaucoup de joueurs qui débarquent aussi jeunes de l'étranger, Ben Safar va devoir s'adapter à un jeu plus direct et surtout plus physique.

« Le rythme du jeu », répond-il lorsqu'on l'interroge sur la principale différence. « La sélection de tirs est différente. Ici, en NBA, tout va beaucoup plus vite. En Europe, il y a davantage de mouvement de la balle, des coupes… Ici, c’est beaucoup d’un-contre-un, et c'est ce que j’aime. Donc j’aime bien ce style, mais c’est assez différent.”

En NBA, il ne faut pas hésiter à saisir la moindre opportunité, et il l'a bien compris. « Si on a un tir complètement ouvert, on le prend tout de suite. Peut-être qu’à Ulm, on voulait davantage appliquer des systèmes, attaquer tel ou tel défenseur. Mais ici, si on a un bon tir, on le prend. C’est exactement ce qu’on fait, et c’est exactement ce que font les meilleurs joueurs et les meilleurs coachs en NBA. Donc, j’adore vraiment ce style de jeu. »

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