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Les Pacers 2025 font la fierté de leurs anciennes gloires

NBA – Les anciens joueurs majeurs des Pacers voient évidemment d’un bon œil le parcours de l’équipe actuelle, qui n’est plus qu’à une seule victoire du titre.

pacers reggie millerLes embrassades entre Reggie Miller et Tyrese Haliburton à la fin des rencontres comptent parmi les images fortes et symboliques de cette finale NBA. Le croisement de deux générations de leaders des Pacers. Le premier avait lui aussi atteint la dernière scène des playoffs.

C’était en 2000, dans une série perdue face aux Lakers. Un quart de siècle plus tard, la formation de l’Indiana fait un retour tonitruant en finale NBA, et n’a jamais été aussi proche du premier titre de son histoire en NBA.

« Cette franchise le mérite vraiment. On a connu beaucoup de belles années, mais évidemment, on n’est jamais allés aussi loin. Donc je suis simplement heureux pour l’équipe, les propriétaires, toute la ville. Il y a ici une base de fans formidable. J’ai toujours adoré jouer ici, alors j’adorerais voir un titre de champion », lâche Rik Smits auprès d’ESPN.

L’ancien pivot local, drafté en deuxième position en 1988, a fait le bonheur des Pacers durant toute la décennie 1990. Ses 12 saisons dans la ligue, il les a jouées dans l’Indiana. Et lui aussi était de l’équipe qui a croisé le fer avec Shaquille O’Neal et Kobe Bryant en 2000, lancés sur la route d’un triplé.

On n’a pas besoin de s’appuyer sur une ou deux vieilles stars

Une nouvelle génération de joueurs avait pris la suite, autour de Jermaine O’Neal, Ron Artest – aujourd’hui Metta Sandiford-Artest – et Stephen Jackson. Une équipe taillée pour atteindre le sommet de la ligue mais qui s’est fracassée un soir de novembre 2004, sur le parquet des Pistons.

« Ça veut tout dire, autant pour les gars qui ont joué il y a des années que pour ceux qui jouent aujourd’hui. On était censés en gagner un à notre époque. Mais ça ne s’est pas fait. Alors, c’est beau de voir les jeunes ramener ça », apprécie Stephen Jackson quand Metta Sandiford-Artest trouve aussi que la ville mériterait d’être récompensée après tant d’années à attendre.

Une jeune formation – 25 ans de moyenne – qui séduit beaucoup les anciens par son style de jeu. 

« Chaque soir, ce sont des contributions différentes venant de joueurs différents. C’est vraiment un effort collectif chez eux. On n’a pas besoin de s’appuyer sur une ou deux vieilles stars. C’est vraiment plaisant à regarder », remarque Rik Smits dont l’équipe en 2000 comptait quatre des cinq titulaires à 30 ans ou plus.

« Quelle super équipe. Ce n’est pas une équipe à la LeBron James. De ce point de vue, je pense que s’ils gagnent, ça change la manière dont on construit les équipes. Ils sont en train de changer le jeu », termine Metta Sandiford-Artest en citant l’un des héros du dernier Game 7 disputé en finales NBA. C’était en 2016, le « King » et les Cavs avaient remporté le titre à San Francisco.

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