Combien de fois on a écrit ce genre d’articles ? Franchement on ne les compte plus.
Le scénario est toujours le même. Ray Allen est maladroit. Les Celtics sont à égalité à quelques secondes de la fin. Et pourtant, c’est à lui que revient la balle de match. Et il marque !
La nuit dernière, c’est Detroit qui en a été la victime…
Des Pistons qui pensaient pourtant tenir le bon bout. + 8 (75-67) à 8 minutes de la fin après un 3-points de Ben Gordon. Et encore + 4 à 2’45 minutes de la fin (82-78). La machine est grippée mais les Pistons croient à l’exploit : gagner au TD Garden.
Et puis, Boston va jouer juste, et surtout défendre dur. Comme toutes les grandes équipes dans le « clutch time ». Kevin Garnett puis Paul Pierce marquent, et ils égalisent (82-82).
Derrière, balle à T-Mac qui manque ! Kevin Garnett décisif en défense dans le money time l’imite, mais c’est Rajon Rondo qui arrache le rebond. Il demande un temps-mort. Il reste 31 secondes à jouer.
Allen en est à 1/7 aux tirs et 0/4 à 3-points à ce moment du match. Mais le système est pour lui. Un système ultra-simple. Il coupe ligne de fond, profite des écrans, reçoit la passe, et dégaine en un dixième de seconde. Bingo !
On pense que c’est un 3-points mais le ralenti permet de constater qu’il avait le pied sur la ligne. 84-82 pour Boston. Il reste 24 secondes à jouer.
Stuckey puis Gordon manqueront leurs tirs… Score final : 86-82 pour Boston.
Merci qui ? Merci Ray !
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