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Recruter Kevin Durant ? Une contrainte devenue permanente pour les Warriors

Pour le troisième été de suite, Kevin Durant a signé à Golden State un contrat de type 1+1, lui permettant de gagner pas mal l’argent tout en soulageant un peu Golden State, et lui laissant une certaine liberté en même temps que de la souplesse à la franchise. Un accord tacite gagnant-gagnant qui n’est pourtant pas éternel.

Ainsi, le propriétaire Joe Lacob se prépare à devoir « re-recruter » son joueur l’été prochain.

« Il mérite d’avoir le choix de partir et d’être heureux là où il veut être. J’espère que ce sera ici. Et j’espère qu’il pensera comme moi, comme nous, quand l’été viendra », décrit-il chez The Athletic. « Mais on ne peut jamais vraiment prévoir ce genre de choses. On fera simplement notre boulot, il fera le sien, et on verra l’été prochain. »

A priori, l’ailier va de nouveau faire une croix sur la deuxième année de son contrat. Mais cette fois-ci, il pourrait avoir des envies d’ailleurs après avoir réussi son objectif à à Golden State avec deux titres en deux saisons.

« C’est mon héros »

Pour autant, même si Kevin Durant a permis aux Dubs de passer encore dans une autre dimension, Joe Lacob ne regrette pas vraiment de ne pas l’avoir tout de suite signé sur le long terme. Les contrats courts lui ont rendu bien des services pour gérer ses autres stars, ou tout simplement économiser de l’argent. Pour le prochain exercice, les concessions du MVP des deux dernières Finals lui évite ainsi une dépense de 20 millions en « luxury tax ».

« On aurait aimé le signer sur le long terme, mais on est contents de l’avoir et puis vous savez, en signant pour une saison, il nous a permis d’économiser de l’argent, et de faire d’autres choses. Peut-être qu’on n’aurait pas eu DeMarcus Cousins par exemple. KD a été super. C’est mon héros. C’est un super partenaire pour nous. Il a fait des concessions ces dernières années pour nous permettre de faire des petits trucs en plus. Chose que je n’oublierai jamais. »

LEXIQUE

– Luxury tax : en NBA, le salary cap n’est pas strict, et la NBA autorise les franchises les plus riches à dépasser le seuil fixé avec une marge de tolérance d’environ 20%. En l’occurrence, cette année, les franchises peuvent dépenser jusqu’à 123.7 millions de dollars. Ensuite, pour chaque dollar dépensé au-dessus de ce plafond, les franchises doivent verser la « luxury tax » à la NBA. Une sorte d’impôt qui peut coûter très cher, et les Cavaliers et les Warriors paient chaque année plusieurs dizaines de millions de dollars. Une somme reversée ensuite aux franchises, bonnes élèves, qui n’ont pas payé la « luxury tax ».

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