Souvenez-vous de cette histoire improbable : une ancienne voisine de Tony Parker lui réclamait 800 000 euros pour contrefaçon d'une vidéo. A l'origine, un petit film amateur où l'on voit TP dribbler sur un parking à l'âge de 12 ans.
Une séquence reprise ensuite régulièrement par la famille Parker et les télévisions sans l'accord de cette habitante de Canteleu.
Vendredi, le Tribunal de Grande Instance de Paris a rendu son jugement, et il a donné raison à la famille Parker. Il a condamné la plaignante à verser 5 000 euros à Tony Parker, mais aussi à son père pour le remboursement des frais de justice.
Pour les juges, cette vidéo ne pouvait être protégée au titre de propriété artistique car la plaignante “s'est contentée de filmer cette action, limitant son rôle à une intervention technique”. En conséquence, et sans la trace d'une quelconque mise en scène, il était impossible pour elle de réclamer des droits d'auteurs.
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