On est en 1992 et Stephen Curry accompagne son père lors du concours à trois points du All Star Game d’Orlando. Alors que papa Dell se prépare pour l’événement à l’échauffement, le jeune garçon est confiée à Biserka Petrovic, la maman de Drazen Petrovic.
Vingt-trois ans plus tard, fraichement sacré champion NBA, le meneur n’a pas oublié la gentillesse de la maman du Mozart du basket. Du coup, il va envoyer un de ses maillots des finales à Biserka, qui lui a déjà réservé une place dans le Drazen Petovic Memorial Center à Zagreb.
« Ce sera un honneur de voir mon maillot dans le musée Petrovic, » a déclaré Stephen Curry pour un journal croate.
« Class act » jusque dans ses choix musicaux, Stephen Curry prouve ici que le basket, jusque dans ses plus hautes sphères, est une grande communauté. Un geste hautement symbolique quoiqu’on en dise : d’un artiste à un de ses pairs disparus…