La semaine prochaine, le 6 mars, une statue de Dominique Wilkins sera présentée devant la Philips Arena d’Atlanta.
Un honneur réservé aux plus grands joueurs de chaque franchise, qui touche forcement « The Human Highlight Film ».
« Ça met un coup de tampon sur votre carrière », résume-t-il au Boston Herald. « C’est bizarre, presque irréel. En grandissant, on ne pense jamais avoir une statue. Être immortalisé de cette façon, c’est incroyable. Plus on approche de la date, plus je suis nerveux, mais c’est un bon trac. »
Wilkins a porté le maillot des Hawks 882 fois en saison régulière et 51 fois en playoffs. Il y a marqué 23 292 points et compilé d’impressionnantes moyennes avec 26.4 points, 6.9 rebonds et 2.6 passes par match.
« Le truc avec cette statue, c’est qu’on sait qu’on est resté là un long moment », rigole-t-il.
L’ailier ne perd pas son sens de l’humour même quand il s’agit de son jeu défensif, qui n’a jamais été à la hauteur de son talent offensif.
« Est-ce que la statue défend mieux moi ? Mettez là et essayez de provoquer un passage en force, elle ne tombera pas ; si vous foncez dedans, elle ne bougera pas. »