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[Coaching] Les écrans des Spurs, une plaie pour Damian Lillard

Qu’est-ce qui rend les Spurs si difficiles à jouer ? Leur banc, leurs mouvements incessants, leur volonté de partager le ballon ? Sans doute. Mais pour Damian Lillard, ce sont d’autres « fondamentaux » trop souvent oubliés qui lui rendent la série compliquée face à Tony Parker. Les écrans.

« Leurs écrans font mal. Ils posent de vrais écrans », explique le meneur. « Ils font un super boulot pour poser et tenir leurs écrans. Ça épuise. Poursuivre Tony Parker, c’est déjà compliqué. Mais lorsqu’on prend un coup à chaque écran, ça rajoute à la difficulté ».

Quand on affronte San Antonio, il faut ainsi s’attendre à batailler face aux écrans durs de Tim Duncan, Tiago Splitter, Boris Diaw ou Aron Baynes. Et au bout d’un moment, ça épuise.

« Ça fatigue. Et quand je suis épuisé après avoir poursuivi Tony Parker, c’est difficile d’être productif offensivement, parce que je suis crevé. C’est difficile. Je dois faire un meilleur boulot afin d’éviter les écrans. C’est un défi qu’on doit tous accepter ».

Des écrans inattendus et répétés qui font mal

Les Blazers doivent communiquer un maximum afin d’aider leur meneur car ce qui fait mal, ce sont les écrans auxquels on ne s’attend pas. Le problème, c’est que les Spurs posent tellement d’écrans et dans des situations tellement différentes qu’il est difficile de tous les annoncer.

C’était bien plus facile face à Houston. Dwight Howard a ainsi souvent tendance à poser de faux écrans et les intérieurs des Rockets posaient de toute façon leurs écrans majoritairement en haut de raquette.

Damian Lillard pouvait donc les voir venir et les anticiper sans trop en souffrir. Bien sûr, des décalages étaient souvent créés mais ces écrans attendus de Dwight Howard ou Omer Asik faisaient moins mal au meneur des Blazers, qui parvenaient très souvent à les éviter sans recevoir de coups.

Les écrans font ainsi partie du travail oublié mais essentiel à une équipe qui veut décrocher un titre. Utiles pour libérer les coéquipiers, ils entraînent toute une réaction en chaîne et, comme l’explique Damian Lillard, peuvent ensuite peser sur l’attaque. Le diable est vraiment dans les détails…

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