C’est au magazine Dujour que Donald Sterling a réservé sa première réaction à sa suspension à vie de la NBA et son amende de 2.5 millions de dollars. Le propriétaire des Clippers, trahi par les enregistrements de sa petite amie, n’a qu’un regret dans cette affaire.
“J’aurais dû la payer pour qu’elle se taise” lâche-t-il.
C’est la seule phrase publiée pour l’instant par ce magazine spécialisé dans la vie des (très) riches, et disponible uniquement par abonnement.
On sait juste que Sterling a précisé qu’il ne parlerait ensuite qu’à Barbara Walters, star des intervieweuses aujourd’hui âgée de 84 ans, et à la NBA.