Arrêté pendant les derniers playoffs pour avoir agressé une ancienne petite amie, Jordan Hill a évité la prison. Jeudi, le joueur a plaidé “no contest”, une spécificité américaine qui permet à la défense de ne pas contester les faits mais sans plaider coupable.
Le pivot a été condamné à un an de probation, des séances de conseil sur les violences domestiques, 500 dollars d’amende et un don obligatoire de 100 dollars à une association qui lutte contre la violence. Hill doit aussi éviter tout contact avec sa victime.
Cet arrangement avec le procureur permet à Hill que les faits soient qualifiés de délit et non plus de crime. Dans ce dernier cas, il aurait risqué 10 ans de prison en cas de verdict “coupable.”
En larmes, l’ancienne petite amie a décrit comment le joueur l’avait frappée et tenté de l’étrangler.
“Elle aurait préféré qu’il plaide coupable plutôt que “no contest” pour montrer qu’il allait assumer ce qu’il a fait”, a expliqué l’avocate de la victime.