Alec Burks veut atteindre le niveau des plus grands

Meilleur rookie du Jazz en 2011-12 avec ses 7.2 points de moyenne, Alec Burks a réalisé une superbe Summer League à Orlando en juillet. Avec 19.5 points à 45 % et 3.4 rebonds, Burks a impressionné et il semble lancé pour sa seconde saison dans la NBA.

À 21 ans, il est revenu pour Slam Magazine sur sa bonne performance en ligue d’été, ainsi que le travail qu’il a effectué.

« C’était cool, je pense que j’ai acquis de l’expérience et j’ai montré mon jeu, surtout ce que j’ai travaillé depuis que la saison est finie. Je me sens bien. J’ai travaillé la totalité de mon jeu. Je ne veux pas bosser seulement un secteur et laisser les autres. J’ai du travail à faire pour devenir meilleur. J’observe Kobe Bryant, James Harden ou Dwyane Wade… Ça me laisse penser que si je travaille dur comme eux, je peux atteindre un tel niveau. »

“A Utah, on est comme les Beatles”

Il a aussi analysé sa saison rookie, qu’il juge inconstante mais il n’oublie pas qu’il a eu sa chance avec les blessures de plusieurs joueurs du Jazz.

« J’ai eu des hauts et des bas. Au début, je trouvais que je ne jouais pas assez, mais il y a eu des blessures et j’ai eu la chance de montrer mon talent. Le plus dur a été le processus d’apprentissage. Je pensais jouer davantage, on pense être bon tout le temps, mais ce n’est pas comme ça que ça fonctionne, on doit se construire à chaque match. »

Il a maintenant les yeux rivés sur la saison à venir, avec notamment l’arrivée de Mo Williams.

« On sait tous que Mo est un grand joueur, un grand leader, un grand vétéran. Il va apporter de la dureté à notre équipe, faire de nous une meilleure équipe. On a aussi une très bonne raquette et le futur est brillant pour nous. »

Une saison où une nouvelle fois, le Jazz sera l’attraction sportive de l’Utah car le basket est le seul sport professionnel dans l’Etat.

« On est un peu comme les Beatles là-bas. Tout le monde nous connaît depuis que l’on est la seule équipe. On adore le Jazz, et la salle est pleine tous les soirs, et c’est une superbe expérience. »