Carnet Privé du Shaq (Mardi 2 Décembre – Lundi 8 Décembre)

C’est bon, notre source aux Suns a accepté de nous envoyer de nouveaux extraits du journal intime du Shaq. Après une première semaine qui l’avait vu perdre au Pizza Hut face à Boris Diaw, Shaquille O’Neal nous revient cette semaine et il n’est toujours pas content. Mais qui a osé le comparer à Mozart ?!?

Bonne lecture !
> Mardi :

Je suis Shaq et je suis l’homme le plus drôle du monde. Jerry Seinfeld me demande toujours des conseils pour ses sketchs.

Je suis « Le Grand Alchimiste ». Donnez-moi du fer et je vous rendrai de l’or. Donnez-moi une balle et je vous rendrai une bague.

Que tu me respectes ou non, je te dunkerai dessus.

> Mercredi :

La Nouvelle-Orléans est toujours dans un sale état. Merci W.

Nouvelle défaite contre les Hornets. J’étais assis avec Steve. Sur deux chaises différentes.

Amare ne peut pas gagner sans moi. Kobe non plus.

> Jeudi :

En 1969, l’Homme a marché sur la Lune. En 1972, Shaq a marché sur la Terre.

MERDE ! On a perdu contre les Mavs et même la grande Erica a été meilleure que moi. Delonte m’a dit qu’il me passerait quelques-uns de ses cachets.

J’ai envie de crier. Mais j’ai peur de déclencher un tremblement de terre.

> Vendredi :

Celui qui m’a comparé à Mozart avait tort. Mozart n’a jamais été champion NBA.

Il y a des choses qu’on ne peut pas dire à sa femme. Demandez à Kobe.

A l’heure où les autres dorment, je protège le monde du vice. Et pas que du mien.

> Samedi :

Lorsque je me réveille, je pense que je suis génial. Mais quand je me couche, je sais que j’avais raison.

Enfin une victoire. Contre Utah. 15 points, 10 rebonds.

J’ai pris le ballon et je m’en suis servi pour écrabouiller les Mormons. Je viens de créer une nouvelle pizza.

> Dimanche :

J’ai entendu dire que Barack Obama jouait au basket avec ses gardes du corps. Moi aussi.

Les pauvres.

Que ceux qui m’aiment me suivent. Mais pas trop près.

> Lundi :

Le suicide est un acte lâche. Si tu veux mourir dignement, affronte Shaq.

Je suis « The Shaquer ». Je prends mes adversaires et j’en fais de la bouillie.

Puis je la mange.