Victime d’une légère élongation dans le Game 3, Tony Parker n’a pas forcé dans le match suivant, retournant sur le banc dès que la défaite face à Miami semblait inévitable. Une stratégie, cumulée à trois jours de repos, qui lui permettent d’envisager d’être « à 100% » demain soir pour le Game 5.
« Mes ischios-jambiers peuvent se déchirer à tout moment désormais », explique-t-il, fataliste. « Si c’était la saison régulière, je n’aurais pas joué pendant 10 matches ».
Néanmoins, il s’agit ici des Finales et il n’est plus question d’être prudent. L’important pour le meneur est de tout faire pour remporter un cinquième match toujours décisif. En espérant que ses ischios tiennent.