Considéré comme l’un des joueurs les plus menacés par la désormais célèbre amnesty clause, Mike Miller a profité d’être de nouveau autorisé à communiquer avec ses dirigeants pour s’entretenir avec Pat Riley et Erik Spoelstra.
Bien que le président et le coach du Heat ne lui aient rien promis, Miller ressort serein de cet entretien comme il l’a confié au Sun-Sentinel.
« Ils vont faire ce qu’ils ont à faire mais il semble que ma place ici n’est pas menacée. Je vais me préparer et me tenir prêt à jouer quel que soit l’endroit. »
En convalescence suite à son opération (une hernie) qui le tiendra à l’écart des terrains jusqu’à la fin janvier, Mike Miller préfère prendre la situation avec humour.
« Je suis dans la ligue depuis douze ans. J’ai été échangé 675 fois. C’est la première qu’on parle de ‘m’amnistier’ mais on s’y habitue. »
Espérons pour lui que cela ne se transforme pas en une mauvaise blague.