Dans ce conflit, les propriétaires sont loin d’être unis. Il y a les très riches qui font des bénéfices et qui ne souhaitent pas le système change. Et il y a les moins riches, symbolisés par les franchises des « petits marchés », qui aimeraient que le système change pour se mêler à la bagarre pour le titre.
Les premiers sont une poignée alors que les seconds forment les deux tiers.
Comment accorder leurs violons alors qu’ils doivent parler d’une seule voix ? Selon le New York Post, c’est Jim Dolan, le patron des Knicks, qui a permis de rapprocher tout le monde, et de surtout quasi conclure un accord avec les joueurs.
« Il a essayé de faire en sorte que les deux camps restent focalisés sur un accord. Il a essayé de trouver un accord, d’apporter du positif. En un mot, il a eu une influence fructueuse » révèle au Post une personne proche des discussions.
Les Knicks auront 20 millions pour recruter en 2012/13
Et qu’a-t-il décroché ?
Un salary cap stable en 2011, c’est à dire à 58 millions de dollars, mais surtout un salary cap qui devrait atteindre les 60, voire 61 millions, en 2012.
Dans un an, les Knicks seront 20 millions sous le salary cap, et pourront donc s’offrir un Chris Paul, un Dwight Howard ou un Deron Williams pour épauler Carmelo Anthony et Amare Stoudemire.
Et devinez qui était assis devant Dolan la semaine dernière lors des négociations ? Chris Paul évidemment…