On l’a déjà dit mais le lockout NBA a des dommages collatéraux que l’on ne soupçonne pas forcément. La presse, les restaurants près des salles, les employés des clubs…
Tout ce qui vit, de près ou de loin, de la NBA subit de plein fouet cette grève, et c’est aussi le cas des principaux annonceurs et diffuseurs.
Déjà refroidis par le lockout en NFL, les plus grands groupes envisagent déjà le pire, et ils ont entamé le plan B .
“Pour ceux qui misaient sur la NBA, les temps ne sont pas au beau fixe” explique un dirigeant d’une agence dans le New York Post.
Conséquence, “ils se tournent vers la NFL et le basket universitaire” ajoute-t-il.
Résultat des courses, les grands network (ESPN et TNT) pourraient voir des budgets leur passer sous le nez, et ce sont les petites chaînes du câble qui en profiteraient.
On estime à 865 millions le montant des budgets engagés.