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Malgré Desmond Bane, le Magic reste en panne d’adresse extérieure

Malgré l’arrivée de Desmond Bane, censé apporter de l’adresse et de la stabilité au tir extérieur, le Magic reste en grande difficulté derrière la ligne à 3-points. Avec seulement 28.2% de réussite sur les trois premiers matchs, Orlando traîne toujours le même mal que la saison passée.

Desmond Bane et le MagicL’an passé, le Magic affichait la pire adresse à 3-points de toute la NBA, et de loin, avec seulement 31.8% de réussite. Pour remédier à ce mal récurrent, Orlando a mis la main sur Desmond Bane, réputé pour son adresse de loin. Mais après trois rencontres, le constat reste le même : les tirs ne tombent toujours pas dedans…

Sur ce début de saison, les hommes de Jamahl Mosley tournent à seulement 28.2% de réussite à 3-points. Et la nuit dernière, face aux Bulls, c’est même tombé à 13% (3/24) derrière la ligne à 7m25 !

Interrogé, le coach du Magic refuse de céder à la panique, même si le problème devient difficile à ignorer.

« Une partie de la réponse vient du fait qu'on met et qu'on rate des tirs dans cette ligue » philosophait ainsi Jamahl Mosley. « Je trouve qu'on a eu de bons tirs mais bon, il faut les mettre. Il faut tirer notre chapeau à Chicago, parce qu'ils couraient vraiment partout. Mais encore une fois, il n'y a pas d'excuse. Il faut qu'on mette nos tirs. Il faut qu'on finisse avec plus de force et d'autorité près du cercle. »

Un cercle vicieux ?

Le technicien pointait surtout les finitions manquées près du cercle, là où les Bulls sont pourtant friables. Pour lui, c’est en insistant dans la peinture que son équipe ouvrira enfin des espaces à 3-points.

Mais sans Jalen Suggs, c'est Desmond Bane qui s’est d'ailleurs retrouvé à devoir créer pour les autres, cassant le premier rideau défensif pour ressortir le ballon… sans que ses coéquipiers ne convertissent les offrandes.

« C'est un processus. Si on n'obtenait pas des bons tirs et qu'on n'arrivait pas au cercle, il y aurait un sujet. Mais le fait est qu'on y arrive, qu'on va dans la raquette et qu'il faut qu'on se concentre sur les finitions » concluait Jamahl Mosley. « C'est du travail qu'on peut faire à la salle. Des shoots en plus, des répétitions. C'est ce sur quoi on doit s'améliorer, et faire en sorte que la frustration ne se ressente pas en défense. »

Car les tirs ouverts ratés boostent le moral des adversaires, et minent celui de Paolo Banchero et compagnie.

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