Alors qu’il ironisait sur la bagarre entre les joueurs de Georgetown (université qui se trouve à Washington…) et le club chinois des Bayi Rockets (« je ne sais qui a gagné mais ce n’était pas ceux qui parlaient anglais »), Gilbert Arenas a une nouvelle fois montré qu’il ne savait pas s’arrêter…
A un fan des Hoyas qui le prévenait qu’il lui ferait la peau s’il le voyait traîner à Washington, Arenas a répondu.
« C’est difficile pour moi de courir avec la centaine de millions que j’ai pris en me barrant de Washington. »
Les dirigeants des Wizards apprécieront…