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Les Raptors ne font aucune promesse au sujet des playoffs

NBA – Le GM de l'équipe, Bobby Webster, préfère attendre de voir à l'œuvre l'intégration de Brandon Ingram avant de fixer un tel objectif.

Bobby Webster Raptors« Oui, tous les joueurs sont en bonne santé et disponibles », lâche Bobby Webster après avoir légèrement roulé les yeux. Alors que le GM des Raptors vient de s'installer en conférence de presse, la question du facteur santé est posée. Avec, en creux, un enjeu autour de celui qui n'a pas encore enfilé le maillot local : Brandon Ingram.

Un joueur obtenu en cours de saison dernière, contre Bruce Brown, Kelly Olynyk et des tours de Draft, susceptible de tirer vers le haut l'équipe de Toronto. « C’est l’un des rares joueurs capables de se créer ses propres tirs, mais aussi d’obtenir un tir assez efficace par lui-même. C’est quelque chose qui nous a un peu manqué ces dernières années », juge le dirigeant, désormais pleinement en charge de l'aspect sportif, suite au départ de Masai Ujiri.

Bobby Webster parle d'un joueur talentueux, capable d'être une menace près du cercle, à mi-distance ou de loin. Et qui n'est « pas vraiment intéressé par ce qui se passe en dehors du terrain. Pas vraiment intéressé par ce que les gens disent de lui. » De quoi lui valoir, pour ce point-là, des comparaisons avec un certain Kawhi Leonard…

Seulement 30 matchs gagnés l'an dernier

Sa seule arrivée peut-elle permettre aux Raptors de sortir de la médiocrité ? Là-dessus, le GM joue toutefois la prudence. « On a gagné 30 matchs l’an dernier, donc je ne pense pas qu’il y ait la moindre illusion ou attente précise en termes de victoires ou de place en playoffs. On verra bien. Vous le verrez au camp d’entraînement. Vous le verrez au fil de la présaison », préfère ainsi répondre le décideur.

Un appel à la patience qui devient désormais récurrent à Toronto. Difficile pour l'heure de se faire une idée de cette équipe avant de la voir sur le parquet. L'an passé, le quatuor Scottie Barnes – Jakob Poeltl- Immanuel Quickley – RJ Barrett n'avaient d'ailleurs joué que 9 matchs ensemble. Il faut maintenant ajouter Brandon Ingram à ce mix.

« On a beaucoup d’éléments en notre faveur, beaucoup de raisons de croire qu’on sera compétitifs, mais on n’a pas encore réussi à tenir une saison complète. C’est le défi pour ce groupe dès le premier match à Atlanta : peuvent-ils être compétitifs ? Peuvent-ils rebondir ? Peuvent-ils enchaîner ? Peuvent-ils jouer vendredi soir, puis samedi soir ? Peuvent-ils le faire de manière régulière ? », énumère Bobby Webster, lui aussi en en attente de réponses.

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