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Le Thunder a aussi affrété un avion pour ses employés

NBA – Au moins une centaine de membres du staff ont pu faire le voyage dans l’Indiana pour assister au Game 3 face aux Pacers.

thunderOn ne sait pas s’il s’agit d’une réponse au beau geste du propriétaire des Pacers. Mais à l’instar de Herb Simon, le Thunder a également fait voyager une partie de ses employés – au moins une centaine – dans l’Indiana, pour assister à la troisième manche de la finale NBA face aux Pacers.

« C’est toujours comme un rêve devenu réalité que tout ça arrive, qu’on soit en finale. L’excitation est palpable. Elle est présente dans les bureaux, et dans toute la communauté. Tout le monde se mobilise autour de ça, et on a hâte d’emmener cet esprit Thunder à Indianapolis », affichait Ashley Ewers, coordinatrice performance de la franchise, dont l’enthousiasme a sans doute été un peu douché après le revers de la nuit passée.

Reste que le fait d’avoir affrété un avion pour un tel déplacement en dit beaucoup sur le Thunder, selon Mark Daigneault. « J’ai le privilège de travailler au sein d’une organisation de tout premier ordre, à commencer par Clay (Bennett), et à tous les niveaux », lâchait le coach en amont du match, en référence au propriétaire de la franchise.

Beaucoup de personnes invisibles

« C’est une organisation exemplaire dans tous les aspects. Il n’y a vraiment rien qui ne soit pas de très haut niveau dans notre équipe. Ça ne veut pas dire qu’on est meilleurs que les autres, mais après avoir travaillé ici aussi longtemps, j’ai une profonde reconnaissance pour ça », poursuivait-il.

Celui-ci rappelle qu’en parallèle au « travail invisible » des joueurs, et tout le travail qui se fait dans l’ombre, « il y a aussi beaucoup de personnes invisibles qui permettent à toute l’organisation de bien fonctionner, que ce soit sur le plan business ou sur le plan des opérations basket. On a des gens formidables, en arrière-plan, qui travaillent sans relâche, qui laissent leur empreinte sur l’équipe et sur ses succès, sans forcément être sous les projecteurs. »

Et qui, la nuit passée, ont eu la chance de pouvoir rester au plus près du groupe. « Je suis content qu’ils soient là. On va avoir besoin qu’ils fassent vraiment, vraiment du bruit ce soir dans cette salle », terminait le coach dont le clan a malgré tout eu du mal à se faire entendre au cœur du vacarme local.

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