Comme on est à Disneyworld, vous ne serez pas surpris de trouver un grand 8 à Orlando. Mais l’attraction n’est pas dans les manèges mais sur les parquets avec un Magic new look qui n’en finit plus de gagner.
Dernière victime en date : Houston, trop limité par les absences de Chuck Hayes et d’Aaron Brooks.
Et ce qu’il faut retenir de cette victoire, c’est que le Magic peut gagner même lorsque Dwight Howard a un problème de fautes. Grâce à qui ? Grâce à Brandon Bass (18 pts cette nuit). L’ancien Mav, qui souffre pourtant du genou, est le grand gagnant des récents trades avec Washington et Phoenix. On retrouve le Bass de Dallas : opportuniste, complet et efficace.
A ses côtés, Ryan Anderson aussi en profite. Lui n’a rien d’un intérieur (dans le jeu) mais il ramène 16 pts et 7 rbds. Résultat, Howard peut rester assis quasiment pendant tout le deuxième quart-temps puisque Orlando parvient en tête à la pause (53-50).
Au retour des vestiaires, Howard revient, et les Rockets vont plier. Ils s’entêtent à faire prise à deux sur D12, et il les punit en ressortant sur ses coéquipiers : Richardson, Anderson (13 pts dans le 3ème quart-temps !) et Bass en profitent. Les Rockets encaissent un 19-5 qui fait très mal, et le Magic prend rapidement 20 points d’avance (92-71).
Le money time ne sera qu’une formalité, et on laisse le mot de la fin de Kevin Martin.
« Notre problème est que nous n’avons personne qui peut d’un seul coup se transformer en un contreur de 2m18. Dans le troisième quart-temps, nous n’avions personne pour les contrer. »
L’ombre de Yao Ming n’a pas fini de planer au-dessus des Rockets…
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