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Brown, le feuilleton de Gotham

New-York jouit à peine des premiers rayons de soleil que son feuilleton sportif estival annuel prend des allures burlesques. Premier rôle de ce soap-opera médiatique: Larry Brown. Partira, partira pas ? La presse de Gotham se délecte des rumeurs et autres bruits de couloirs qui font des Knicks cette franchise si particulière.

Arrivé à prix d’or pour réaliser son rêve d’enfance, le natif de Brooklyn s’est cassé les dents sur une montagne d’ego, incapable de trouver l’alchimie et de tirer la quintessence d’un effectif sur coté et déséquilibré. Bilan : “the right way” est resté aux vestiaires et les Knicks ont terminé la saison avec le deuxième plus mauvais bilan de la ligue. Et le pire de leur longue et glorieuse histoire. Impensable à l’entame du training-camp en octobre. Conscient de bénéficier de la clémence des dirigeants newyorkais par la grâce de son CV, le “professeur” assurait au terme de la saison se sentir responsable du désastre et espérait pouvoir corriger le tir dès la saison prochaine.

Dimanche dernier, le New York Post et son concurrent tabloïd le Daily News assuraient que le propriétaire James Dolan envisageait de racheter le contrat de Brown et de confier les clefs de l’équipe à … Isiah Thomas, coach des Pacers pendant trois ans avant de venir signer des chèques “en bois” à New-York. Lundi, l’agent du champion NCAA et NBA, Joe Glass, démentait et stipulait que Brown serait encore sur le banc des Knicks en novembre 2006: “J’ai parlé à Isiah Thomas et il m’a assuré que rien de ce qui avait été écrit n’était fondé. Il est le coach des Knicks et c’est la seule équipe qu’il veut entraîner”.

Cela a le mérite d’être clair. Mais dans la jungle NBA, les belles paroles d’intention et les démentis formels valent parfois aussi peu qu’un métal précieux en toc. Interrogé par Associated Press, Stephon Marbury, meilleur détracteur de Brown en coulisses, s’est pris d’un élan de politiquement correct : “Je n’aurais aucun problème à repartir avec Brown. Si c’est Isiah sur le banc, ça me va aussi. Peu importe”. Vu l’ardeur avec laquelle il écoute les consignes, on comprend que “Starbury” se contre fiche de qui les donne. Lui jouera à la baballe sur son playground du MSG de toute façon…

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