Sans jamais être complètement largués, les Celtics ont été dominés par les Wolves pendant trois quart-temps. Mais la dernière période va se transformer en démonstration.
Brad Stevens avait fait le choix d’entourer Al Horford, très précieux, avec des remplaçants pour donner un coup de fouet à la performance de son équipe, plutôt fade jusque là.
« Je pense qu’il faut nous donner du crédit pour avoir jouer plus dur, les avoir forcés à réfléchir davantage et à les mettre dans une position inconfortable », explique Isaiah Thomas à ESPN.
Les Celtics ont effectivement commencé par bien défendre pour ensuite concrétiser en attaque, avec du mouvement, de l’agressivité et des shoots ouverts.
« Ils étaient pressés par notre défense », relate Marcus Smart. « Les gars étaient collants, on leur a tout rendu compliqué. »
Outre Al Horford, au four et au moulin avec 20 points, 6 rebonds, 5 passes et 3 contres, le joueur à retenir de ces 7 minutes de run, c’est Terry Rozier. Le meneur remplaçant a dynamité la défense des Wolves avec son énergie, ses déplacements et surtout son shoot extérieur. Il égalise à 81-81 avec un tri primé, puis il fait passer Boston devant avec un dunk suite à une interception.
Minnesota ne s’en relèvera pas…