Cette nuit, les Knicks ont perdu leur 11e match d'affilée, et ils ont établi un record de franchise avec un 10e revers de suite à domicile. Les ambitions de titre, et même de playoffs, sont oubliées, et aujourd'hui New York se bat pour éviter d'être ridicule chaque soir.
Un état des lieux dont Amar'e Stoudemire ne se remet pas…
“Ça va au-delà de ce que je pouvais imaginer” a-t-il expliqué sur ESPN. “Je ne pensais pas voir ça. J'en reste sans voix. Lorsque j'ai signé ici en 2010, ce n'était pas le programme prévu.”
La même situation qu'il y a 30 ans ?
Les Knicks restent sur 21 défaites en 22 matches, et l'infirmerie est pleine à craquer. Autant dire que les jours meilleurs ne sont pas pour tout de suite, mais Derek Fisher essaie de positiver, et de jouer les paravents.
“Sur le fond et la forme, perdre ne fait jamais plaisir” rappelle le coach des Knicks. “Du point de vue émotionnel, on doit juste parvenir à maîtriser ce qu'on peut contrôler, et rester concentrés sur des choses positives. J'essaie de convaincre que je suis le leader idéal pour ces gars. (…) C'est mon boulot de limiter l'impact de ce qu'on traverse puisque mes joueurs sont en difficulté. Si je dois en assumer la charge, je le ferai. C'est mon boulot.”
Deuxième et quatrième plus gros salaires de toute la NBA, Carmelo Anthony et Amare Stoudemire ont manqué le match de cette nuit face aux Bucks, et personne ne sait quand ils reviendront. Une situation qui rappelle la saison 1984/85. C'était il y a pile 30 ans, et les Knicks avaient sombré après la grave blessure de Bernard King, alors top scoreur de la NBA.
Quelques semaines plus tard, les Knicks décrochaient le premier choix de la draft, et sélectionnaient Pat Ewing… On connaît la suite.
Suivez toute l'actualité NBA sur la 
Suivez nous également sur