Tout juste auréolé d’un contrat maximum à hauteur de 62 millions de dollars sur quatre ans, Gordon Hayward a rejoint Team USA le coeur léger. Même si l’ailier est conscient des attentes qui l’entourent, Hayward ne s’en soucie pas vraiment. Selon lui, le chantier n’est pas individuel mais collectif.
“Je ne crois pas que je doive me soucier de quoique ce soit.” a t-il répondu au Salt Lake Tribune. “Ils me payent ce qu’ils voulaient me payer, il n’y a rien de plus que ça. Non, il n’y a pas de pression. La pression concerne surtout nos résultats. C’est ça, la pression.”
“J’apprécie le système de coach Snyder…”
Actuellement à Las Vegas, Gordon Hayward a pu rencontrer Quin Snyder, son coach au Jazz, de passage dans la Cité du Vice. L’entente entre les deux hommes semble parfaite et Hayward ne cache pas qu’il apprécie la conception du jeu du tacticien, assistant des Hawks l’an passé.
“C’est le jeu que j’aime.” a confié le jeune joueur. “Partager le ballon, courir, occuper tout l’espace du terrain. Je pense que cela me convient très bien.”
Concentré sur la préparation de la Coupe du Monde, Gordon Hayward est impatient de fouler les parquets européens.
“Ça va être une expérience dingue de jouer l’Espagne chez elle, avec tous les fans qu’ils ont.” s’exclame t-il. “Bien sûr, cela va être très sympa de représenter les États-Unis.”
Ses 16 millions de dollars annuels ne le changent donc pas, l’ailier ne s’occupe pas de ses stats et souhaite simplement gagner une médaille d’or avant de faire oublier la dernière saison du Jazz, conclue sur un bilan de 25 victoires pour 57 défaites. La balle est dans son camp.
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