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Quelles franchises ont encore des sous pour recruter ?

salary capAvec les signatures de LeBron James, Carmelo Anthony, Chris Bosh, Dwyane Wade ou encore Gordon Hayward, le plus gros de la free-agency est passé. Néanmoins, il reste encore des free agents disponibles sur le marché et certains d’entre eux présentent un profil très intéressant. Mais qui peut encore se les payer ?

Sept équipes disposent d’une marge encore très conséquente

Suite à toute cette activité générée par l’intersaison, la plupart des équipes ont dépensé l’argent dont elles disposaient mais certaines d’entre elles ont encore une marge de manoeuvre pour se renforcer. Selon Basketball Insiders, il y aurait notamment sept équipes avec plus de 7 millions de dollars à dépenser: Phoenix, Milwaukee, Utah, Atlanta, Houston, Orlando et Philadelphie.

A titre d’exemple, Phoenix possède encore 20,2 millions de dollars, et Detroit a 11,8 millions. Deux franchises qui ont la possibilité d’en dépenser une grosse partie sur leurs free agents respectifs, Eric Bledsoe et Greg Monroe. Pour sa part, Magic dispose encore de 11,1 millions et Philadephie a encore 29,4 millions de dollars.

À noter que l’accord collectif oblige les équipes à dépenser 90% du salary-cap: les 76ers doivent donc encore dépenser un peu plus de 16 millions de dollars. Si cet argent n’est pas dépensé, il sera repartagé entre les joueurs sous contrat…

Les exceptions pour se renforcer

D’autres équipes ont dépassé le cap mais restent sous le seuil de la luxury-tax et disposent de l’intégralité de la mid-level exception (5,3 millions de dollars). C’est le cas de Minnesota, Milwaukee et San Antonio.

D’autres ont encore une partie de cette exception: Houston (4,8 millions), Boston (une partie utilisée pour Evan Turner), Denver (4,7 millions), Oklahoma City (2,1 millions), Memphis (1,4 million), Toronto (2,8 millions), Portland (500 000 dollars), Sacramento (500 000 dollars).

Deux autres exceptions existent: la room exception et la bi-annual exception.

La première est offerte aux équipes qui sont sous le cap durant une portion de la saison et elle est de 2,73 millions de dollars. En plus de Utah, Atlanta, Philadelphie, Orlando et Phoenix déjà citées, seule Detroit l’a encore en totalité. Il en reste une partie aux Lakers (1,08 million).

Enfin, la bi-annual exception de 2,07 millions est à la disposition des équipes qui ne payent pas la luxury tax ou sont à moins de 4 millions de dollars au-dessus du seuil. Comme son nom l’indique, elle ne peut être utilisée qu’une fois tous les deux ans. Si Milwaukee et Houston ont déjà été évoquées, cinq équipes peuvent également s’en servir: Boston, San Antonio, Sacramento, Oklahoma et Toronto.

Enfin, les équipes peuvent toujours signer à volonté des contrats minimum.

Encore des mouvements à venir

Évidemment, même si certaines d’entre elles ont encore des moyens de dépenser de l’argent, il peut y avoir des restrictions qui les en empêchent. C’est par exemple le cas de San Antonio ou Boston qui comptent déjà le nombre maximum de joueurs autorisé (15). En revanche, elles peuvent toujours dégraisser pour recruter par la suite.

On peut encore s’attendre à de nombreux recrutements d’ici au début de la saison. En dehors du top 10 des free agents encore disponibles, il y a encore nombres de joueurs capables de rendre quelques services à des équipes.

 

 

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