De jeune star en puissance à Philadelphie à rebut de la société, il n’y a qu’un pas et Evan Turner en fait l’amère expérience.
Peu responsabilisé depuis son arrivée à Indiana, Evan Turner n’a pas convaincu Frank Vogel et consécutivement, Larry Bird. Impliqué dans des rumeurs de rixe avec Lance Stephenson, le n°2 de la draft 2010 n’est plus en odeur de sainteté à Indianapolis.
Conséquence: les Pacers ne lui ont pas proposé la qualifying offer de son contrat rookie et le swingman est donc unrestricted free-agent. Malgré sa polyvalence (11 points, 5 rebonds et 3,2 passes de moyenne sur ses quatre première saisons), Turner tarde à véritablement exploser.
Plus grave pour lui, pour le moment, aucun club n’a manifesté un semblant d’intérêt pour l’ailier alors même qu’il était éligible à un contrat autour des 9-10 millions de dollars avant son départ aux Pacers. La seconde partie de sa saison lui aura coûté beaucoup de dollars.