Plusieurs facteurs peuvent expliquer la très bonne année 2014 des Nets, avec 13 victoires en 18 matches, dont 10 succès à domicile pour seulement deux défaites.
Le small-ball avec Kevin Garnett en pivot et Paul Pierce en ailier-fort, le retour d’Andrei Kirilenko, Shaun Livingston qui ne cesse de surprendre…
Mais le ciment de cette équipe reste la défense. L’état d’esprit a toujours été là, mais l’application a mis quelques semaines à se mettre en place.
« On a toujours compris que nous avions besoin d’être une équipe défensive », affirme Deron Williams au New York Post. « C’est juste que cela n’est pas arrivé, notre défense n’était pas là. Mais dans les grandes victoires, on a fait un superbe travail dans ce secteur. »
La défense conditionne l’attaque
Jason Terry va dans ce sens. Les Nets ont compris que s’ils ne défendaient pas, ils ne gagneraient pas les matches.
« Les gars ont saisi ce qu’ils devaient faire pour aider cette équipe. On a découvert notre identité, celle d’une équipe qui défend dur. Défensivement, faire des stops ; offensivement, faire tourner la balle. Quand on perd des matches, on n’a pas été assez collectif et ça se traduit par une mauvaise défense. »
C’est donc la transition entre la défense et l’attaque qui n’a pas été appliquée durant la première partie de saison. Brooklyn a subi le rythme de ses adversaires.
« Quand on prend des paniers, on ne peut relancer les actions et aller vite », poursuit Williams. On joue alors sur un rythme très lent, qui ne permet pas d’accélérer. C’est clairement un désavantage. »
Suivez toute l'actualité NBA sur la 
Suivez nous également sur