Après l’élimination des Knicks en demi-finale de conférence, les questions sont multiples à Gotham. Copeland, Prigioni, Martin voire Stoudemire : autant de joueurs dont l’avenir à New York n’est pas assuré.
Pour le meneur argentin, le temps n’est pas encore arrivé de se projeter vers l’avenir et la saison prochaine, ainsi que le rapporte le New York Post.
« Ce n’est pas le bon moment pour en parler. Ça fait mal de perdre. Ça fait mal de commencer les vacances maintenant. Il s’agit de l’équipe. Je ne dirai rien pour l’instant. »
Mais, en coulisses, sa femme Raquel pousse pour que la famille Prigioni (Nicolas, 4 ans et Alessandra, 7 ans) retourne en Espagne. Cette dernière ne se serait effectivement pas forcément bien adaptée à la vie américaine, ne parlant pas un traître mot d’anglais…
De plus, les Knicks doivent encore décider combien ils peuvent offrir à Prigioni qui, outre ses stats peu représentatives de 4 points et 3 passes en playoffs, a surtout apporté son expérience des grands rendez-vous à la mène. Et s’il veut revenir, New York devra certainement lui offrir davantage que le minimum syndical qu’il touchait cette année (473 000 dollars)…