Auteur de 17 points d’affilée en première mi-temps, DeMarcus Cousins (34 pts, 14 rbds en trois quart-temps) est le principal artisan de la victoire des Kings à Phoenix. Les Suns, qui avaient décidé de se passer de Goran Dragic, s’inclinent pour la 10e fois en 11 matches…
Sans faire de bruit, les Kings terminent la saison sur une bonne note (6 victoires en 10 matches), avec notamment un DeMarcus Cousins enfin calmé. Concentré sur son basket, l’intérieur de Sacramento a vraiment des mains en or, et lorsqu’il n’y pas d’opposition, ça peut faire très mal.
Les Suns ont pu constater les dégâts lorsque Cousins a donc inscrit 17 points de suite. Lancers-francs, dunks, 3-points, tirs à 5 mètres… Tout y est passé, et dans toutes les positions.
« Je n’y ai même pas fait attention. J’étais surtout concentré sur mes balles perdues. Mais j’ai simplement tirer profit de certaines de mes qualités : la taille et mon adresse » confiera Cousins.
Dans son sillage, et celui d’Isaiah Thomas (23 pts, 8 pds), les Kings atteignent la pause avec 14 points d’avance (64-50). Au retour des vestiaires, on assiste alors à un match de séries. Plusieurs fois, Phoenix va tenter de se recoller au score, par l’intermédiaire de PJ Tucker, Luis Scola ou encore Mike Beasley. Mais à chaque fois, ce cher Cousins en remettra une petite couche. Comme par exemple lorsque Scola ramènera les Suns à -6 (75-69) et que Cousins répondra par cinq mointes d’affilée.
Idem dans le dernier quart-temps lorsque Dudley ramènera les Suns à -7 (94-87), c’est Jimmer Fredette qui sera l’instigateur d’un 15-4 pour plier le match.
Au final, Sacramento s’impose 117-103, tandis que les Suns semblent bien décidés à faire du tanking, histoire d’être bien placés pour la « lottery »…
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