L’absence de Ray Allen prive les Celtics d’une menace extérieure. En conséquence, la défense des Hawks peut se concentrer sur ce qui se passe dans la peinture. Pas franchement une bonne affaire pour Kevin Garnett.
« Ils mettent des gars sur lui, explique Doc Rivers au Boston Globe. Ils le bousculent et on doit faire un meilleur job en tant que staff, on doit enlever des gars de son dos et lui donner un peu d’espace. »
Le problème, c’est qu’il manque une gâchette pour faire peur à Atlanta.
« Notre spacing est affreux. Clairement, sans Ray, ils utilisent leurs deux ailiers pour simplement rester dans la raquette. Et on doit faire un meilleur job pour créer de l’espace. C’est dur quand vous avez deux arrières qu’ils ne défendent pas. Et ça fait la différence pour Kevin. »
Les Celtics attendent donc toujours Ray Allen. Jeudi, le shooteur a repris l’entrainement après 11 matchs manqués. Mais son coach ne sait toujours pas quand et combien de temps il pourra jouer. Une chose est sûre, dès qu’Allen pourra, Rivers l’utilisera.
« Je préfèrerais prendre 10 minutes de lui sur le terrain plutôt que rien du tout si c’est là qu’on en arrive, annonce le coach. Quand Ray pourra jouer, on le fera jouer. »
En attendant, les problèmes des Celtics sans leur shooteur donne des idées à Rivers pour son joueur bientôt en fin de contrat.
« Ray devrait renégocier », plaisante le coach.
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