À chaque fois que Kevin Garnett retrouve Al Jefferson, il prend un malin plaisir à rendre fou celui contre qui il a été échangé en 2007. L’année dernière, il s’étaient déjà chauffés. Et ça a recommencé mercredi, à Boston.
Le Big Ticket a ainsi multiplié les coups de coude, sans jamais se faire attraper.
« Je n’étais pas plus motivé que d’habitude », a-t-il ainsi répondu en souriant, lorsqu’on lui demandait s’il prenait les duels avec Al Jefferson plus à coeur que les autres. « Question suivante ».
L’intérieur d’Utah, lui, était par contre très énervé à la fin du match.
« C’est comme ça qu’il est. C’est tout ce que j’ai à dire. Honnêtement, Kevin ne me gêne pas tant qu’il parle. Tout le monde peut s’énerver, parler et crier. Mais je ne vais pas tolérer qu’on me touche et qu’on me pousse. Il me rentrait dedans comme un lâche, et je ne suis pas un lâche. Je ne l’ai jamais été ».